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Anticor démasque Éric Ciotti : Le "super voyou" des hautes sphères politiques

  • Photo du rédacteur: omsac actualités
    omsac actualités
  • 9 avr.
  • 2 min de lecture

Le Président de l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité (OMSAC), Monsieur Mourad MAZAR, adresse ses plus vives félicitations à l’association Anticor pour le travail acharné qu’elle mène depuis plus de six ans afin de dénoncer les graves dérives attribuées à Éric CIOTTI, actuel président du parti Les Républicains (LR). Monsieur Mazar salue le courage, la persévérance et l’exigence d’intégrité dont fait preuve Anticor dans ce dossier particulièrement sensible. Il qualifie les agissements de M. Ciotti de "pratiques dignes d’un super voyou de la République", rappelant que ce dernier a, par ailleurs, osé qualifier un pays souverain d’"État voyou" — une déclaration inacceptable, incompatible avec les principes de probité, de respect et de transparence que tout représentant public se doit d’incarner.


L’OMSAC soutient officiellement la plainte d’Anticor contre le "Super Voyou" Éric Ciotti : un signal fort pour l’intégrité publique

Rappel des faits reprochés à "Super Voyou" :

L’association Anticor a déposé le 14 janvier 2024 une plainte officielle contre M. Ciotti pour recel de détournement de fonds publics. Selon l’association, ce dernier aurait continué à bénéficier, après sa démission de la présidence du conseil départemental des Alpes-Maritimes en 2017, de privilèges indus :

  • Mise à disposition d’un véhicule de service du département ;

  • Usage de collaborateurs parlementaires rémunérés, selon Anticor, par le conseil départemental, et non par l’Assemblée nationale.


Ces éléments avaient déjà fait l’objet d’un premier signalement en 2019, déclenchant une enquête préliminaire. Un rapport de la Chambre régionale des comptes en 2023 est venu confirmer les suspicions initiales, renforçant la légitimité de la nouvelle plainte. Le parquet de Nice a indiqué que des investigations sont en cours, menées par les services de police judiciaire.


Inès Bernard, déléguée générale d’Anticor, rappelle que « ces faits perdurent » et que si l’enquête n’avance pas, l’association n’hésitera pas à se constituer partie civile pour saisir un juge d’instruction.


L’OMSAC, en tant qu’organisation mondiale engagée contre la corruption, la criminalité et pour la défense de l’État de droit, réaffirme son soutien total à toutes les initiatives citoyennes et judiciaires visant à faire la lumière sur ces abus. L’impunité ne saurait être une option dans un État démocratique.


Département presse & médias de l'OMSAC


 
 
 

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