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Face au massacre à Gaza, l’OMSAC brise l’omerta et interpelle une communauté internationale complice

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    omsac actualités
  • il y a 9 heures
  • 2 min de lecture

Alors que la défense civile palestinienne rapporte une nouvelle frappe aveugle menée par l’armée israélienne dans la nuit du lundi 28 au mardi 29 avril sur des tentes de déplacés à Rafah, au sud de la bande de Gaza, ayant causé la mort de quatre civils, l’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité (OMSAC) exprime sa plus vive indignation.


Pour la énième fois, l’OMSAC dénonce un véritable génocide sauvage perpétré par l'État d’Israël dans ce territoire assiégé, sous les yeux et dans le silence assourdissant de la communauté internationale.

« Depuis le 7 octobre 2023, nous n’avons cessé d’alerter sur ce génocide que le monde entier regarde en direct, les bras croisés », affirme l’OMSAC. « Enfin, les langues commencent à se délier, à l’image de la déclaration courageuse de la secrétaire générale d’Amnesty International, Mme Agnès Callamard, en préface du rapport annuel de l’organisation intitulé Au bord du précipice, publié ce mardi. »

Dans ce rapport, Amnesty International dénonce clairement les actes de l’armée israélienne, qualifiés de crimes relevant du génocide, et documente des faits accablants :

  • assassinats de civils,

  • atteintes graves à l’intégrité physique ou mentale,

  • déplacements forcés,

  • destruction massive d’infrastructures civiles vitales,

  • conditions de vie délibérément imposées pour entraîner la destruction d’un peuple.


Agnès Callamard déclare notamment :

« Les États ont regardé, comme s’ils étaient impuissants, Israël tuer des milliers de Palestiniennes et de Palestiniens, massacrant des familles entières sur plusieurs générations et détruisant des habitations, des moyens de subsistance, des hôpitaux et des établissements scolaires. »

Les recherches d’Amnesty confirment les résultats des enquêtes menées par l’OMSAC, qui pointent des violations flagrantes du droit international humanitaire et de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide.


Face à cette tragédie, l’OMSAC s’interroge : Jusqu’à quand l’humanité restera-t-elle spectatrice ? Où est le Conseil de sécurité des Nations unies ? Où est l’Union européenne ? Que fait la Ligue arabe, première concernée au regard de sa charte fondatrice ? Le silence persistant de ces institutions internationales peut légitimement être interprété comme une forme de complicité caractérisée.


Enfin, une question essentielle demeure : Quel est l’intérêt de la normalisation des relations entre certains États arabes et musulmans et un État "Criminel" qui foule aux pieds le droit international, les droits humains et les principes de paix ?


Département presse & médias de l'OMSAC

 
 
 

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