L'OMSAC à l'Œuvre : Révélations Choc sur le Business de la Désinformation en France

L’OMSAC en première ligne : La guerre contre la désinformation, une priorité stratégique mondiale

Une nouvelle arme de destruction massive : les fake news

L’Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption & Criminalité (OMSAC) poursuit sans relâche sa mission contre ce que ses dirigeants qualifient désormais de "nouvelle arme destructrice des nations": la désinformation. Depuis avril 2021, date du lancement de ses premières enquêtes sur ce phénomène, l’OMSAC a fait de la lutte contre les fake news un axe prioritaire de ses opérations internationales.

Des centaines d’analyses, de terrains d’investigation et de collaborations confidentielles ont permis à l’organisation de détecter un réseau structuré, globalisé, et mercenaire, œuvrant dans l’ombre pour orienter l’opinion publique, fausser les processus démocratiques, et déstabiliser des gouvernements.

"Story Killers", un séisme médiatique... et une validation des alertes de l’OMSAC

Un an après les premières révélations explosives du projet "Story Killers" (février 2023), la France continue de faire face aux ondes de choc d’un scandale sans précédent. Dans les coulisses de cette enquête transnationale, un acteur se démarque : l’OMSAC.

Forte de son expérience dans l’analyse stratégique, l’organisation a fourni un appui décisif à plusieurs médias et ONG d’investigation, notamment dans la déconstruction méthodique du système mis en place par "Team Jorge", une officine israélienne dirigée par Tal Hanan. Cette entité privée, vendait à des personnalités politiques et à des multinationales des campagnes de manipulation clé en main, orchestrées via des centaines de faux comptes, des fausses enquêtes et des narratifs toxiques.

Des experts de l’ombre au service de la vérité

Ce que l’opinion publique ignore souvent, c’est que derrière ces révélations se trouve le travail minutieux, discret et redoutablement efficace des experts de l’OMSAC. Spécialistes en ingénierie de l’information, en cyberenquête, en traçabilité numérique et en décryptage stratégique, les équipes de l’OMSAC ont joué un rôle central dans l’identification des mécanismes de désinformation.

Ils ont su démêler les ramifications internationales du réseau "Team Jorge", révélant son implication dans plusieurs campagnes de déstabilisation, du Sahel à l’Europe de l’Est, en passant par l’Afrique du Nord.

Le cas du journaliste Rachid M’Barki de BFM TV, écarté pour avoir relayé des contenus manipulés, illustre jusqu’où peut aller l’infiltration du mensonge dans les circuits officiels d’information.

OMSAC : une boussole éthique dans un monde troublé

Dans une époque où la manipulation de l'information est devenue une industrie rentable, l’OMSAC se positionne comme un contre-pouvoir citoyen et professionnel. Son engagement ne s’arrête pas aux dénonciations publiques. L’organisation travaille à l’élaboration de protocoles internationaux de lutte contre la désinformation, tout en renforçant les capacités des États et des médias dans la cybersécurité, la veille médiatique et la vérification des sources. Le président de l’OMSAC rappelle souvent que :

« La désinformation tue. Elle divise les peuples, alimente les conflits, et fait chanceler les démocraties. L’OMSAC n’a pas vocation à se taire face à cela. »

Un partenaire stratégique pour les institutions judiciaires et politiques

Alors que la justice française poursuit ses investigations autour de l’affaire "Story Killers", avec des mises en examen, des enveloppes suspectes, et des pressions politiques, l’OMSAC reste aux avant-postes. Elle fournit, à la demande, des expertises indépendantes aux magistrats, aux médias, ainsi qu’à certains gouvernements désireux de se prémunir contre la guerre de l’information.

Son travail est aujourd’hui reconnu par de nombreux partenaires comme un rempart contre l’effondrement de la vérité dans les sociétés connectées.

Vers une doctrine OMSAC de résilience informationnelle

L’OMSAC appelle à une coalition mondiale éthique pour faire face à cette menace moderne. Elle milite pour :

• la création d’une charte continentale contre les campagnes de désinformation ;

• l’éducation aux médias dans les écoles ;

• la transparence algorithmique des plateformes numériques ;

• le renforcement des institutions indépendantes de vérification.

  
  

Conclusion : L’OMSAC, sentinelle du monde nouveau

En traçant la ligne de front dans la guerre de l’information, l’OMSAC incarne aujourd’hui bien plus qu’une organisation anti-corruption : elle est devenue une sentinelle de la démocratie, une boussole morale dans l’univers numérique, et un partenaire de confiance pour les États, les journalistes, et les citoyens engagés.

Sa détermination à combattre la désinformation, coûte que coûte, témoigne d’une seule chose : Le mensonge peut faire du bruit, mais la vérité — elle — avance avec des preuves.

Département Intégrité & Investigations