Double Standard Français : La Libération Demandée pour Boualem Sansal, Mais Protection pour Abdeslam Bouchouareb sous le Même Prétexte d'Âge et de Santé
En tant que président de l'Organisation Mondiale de Sécurité Anti-Corruption et Criminalité (OMSAC), une institution qui œuvre sans relâche pour la promotion de l'intégrité et le respect des principes internationaux, il est de ma responsabilité de dénoncer les abus et les dépassements qui compromettent l'intégrité humaine, professionnelle et légale. Lorsque des lois et principes internationaux sont bafoués, il est impératif d'agir. En tant que premier responsable de cette organisation noble et intègre, il est de mon devoir de faire entendre la vérité et de clarifier les incohérences qui érodent la justice.
Ainsi, face à un scénario aussi carambolesque sous le titre "Double Standard : La Libération Demandée pour Boualem Sansal, Mais Protection pour Abdeslam Bouchouareb sous le Même Prétexte d'Âge et de Santé", il est temps de dire STOP et d'appeler à une réévaluation honnête et transparente des décisions prises.
Depuis des années, l'islam et les musulmans sont la cible de campagnes de stigmatisation en France. Des médias aux responsables politiques, tous se plaisent à alimenter un climat de méfiance et de rejet. Et pourtant, à l'occasion de l'Aïd, ces mêmes voix qui ne ratent aucune occasion de s'attaquer à l'islam se souviennent soudainement de ses valeurs et de sa clémence. Pourquoi ? Pour demander la libération de Boualem Sansal, un homme qui n'a jamais caché son mépris pour cette religion et ses fidèles. Cette audace, cette hypocrisie, ce double standard mérite d'être exposé au grand jour.
Opportunisme Politique et Médiatique : Une Indécence Sans Nom
En France, l'islam est constamment mis en accusation. On prétend qu'il est une menace, qu'il sape les valeurs républicaines, qu'il est incompatible avec la laïcité. Les musulmans subissent des discriminations systématiques, qu'il s'agisse d'emploi, d'éducation ou de liberté de culte. Les débats politiques sont monopolisés par des figures qui ne cessent de cracher leur venin sur l'islam. Mais quand il s'agit de sauver un individu hostile à cette religion, les défenseurs acharnés de la laïcité se souviennent soudainement des valeurs de clémence et de pardon portées par l'islam.
Comment peut-on être assez malhonnête pour réclamer la clémence d'une religion que l'on combat férocement au quotidien ? Comment peut-on invoquer l'Aïd, une fête que ces mêmes médias réduisent à des préjugés absurdes, pour obtenir la libération d'un homme qui n'a eu de cesse de dénigrer l'islam et les musulmans ? C'est un niveau d'opportunisme répugnant qui expose au grand jour le cynisme de ces acteurs politiques et médiatiques.
Hypocrisie Manifeste et Manipulation Symbolique :
Un Jeu Dégoûtant
Ceux qui demandent aujourd'hui la grâce de Boualem Sansal à l'occasion de l'Aïd sont les mêmes qui militent en faveur de lois liberticides contre les musulmans en France. Ce sont les mêmes qui applaudissent à chaque interdiction de voile, à chaque fermeture de mosquée, à chaque réduction des libertés religieuses sous prétexte de laïcité. Comment peuvent-ils aujourd'hui oser se tourner vers cette même religion pour supplier une clémence qu’ils refusent au quotidien à ceux qui la pratiquent ?
Cette stratégie est une manipulation éhontée. Utiliser l’islam comme un instrument pour servir des intérêts politiques ou médiatiques, c’est démontrer qu’on ne respecte ni cette religion ni ses fidèles. C’est un affront à l’intelligence et à la dignité.
Double Standard Français : La Libération Demandée pour Boualem Sansal, Mais Protection pour Abdeslam Bouchouareb sous le Même Prétexte d'Âge et de Santé
La France, qui réclame aujourd'hui la libération de Boualem Sansal, refuse pourtant l'extradition d'Abdeslam Bouchouareb, un criminel recherché par la justice algérienne pour des détournements de fonds. Tout comme dans le cas de Sansal, la France invoque l'âge et la santé pour justifier sa décision de ne pas l'extrader. Cependant, Bouchouareb est sous le coup de mandats d'arrêt internationaux pour des crimes graves, et la France continue de le protéger sous prétexte qu'il serait un "réfugié politique" et gravement malade.
Pourquoi cette politique à deux vitesses ? Pourquoi la France exige-t-elle la justice pour certains individus tout en la refusant dans des cas similaires concernant l'Algérie ? Ce double standard soulève de nombreuses questions sur les véritables intentions de ces décisions et sur la manipulation des principes de justice à des fins diplomatiques.
Il est également important de souligner que, pendant des années, l'État algérien, son président Abdelmadjid Tebboune, et ses institutions militaires ont été la cible d'attaques incessantes et injustifiées. Ces critiques haineuses, souvent formulées par des partisants de la "liberté" ou des figures publiques, ont accablé l'Algérie de tous les maux. Pourtant, aujourd'hui, après une campagne de calomnie et d'insultes, ces mêmes voix se tournent vers l'État algérien et implorent un geste humanitaire à l'occasion de l'Aïd. Cette volte-face est l'expression d'une hypocrisie manifeste qui ne peut être ignorée.
Ce double standard met en lumière une hypocrisie diplomatique flagrante. Lorsqu'il s'agit de défendre des intérêts particuliers, certains pays occidentaux ne reculent devant aucune manipulation des principes de justice et d'objectivité qu'ils prétendent incarner.
Dénoncer et Exposer Ces Manœuvres au Grand Jour
Il est crucial que ces stratagèmes soient dénoncés et exposés. La communauté internationale ne doit pas être dupe de cette manipulation grossière. Ceux qui aujourd’hui instrumentalisent l’islam pour réclamer une clémence sont ceux qui, demain, continueront à alimenter la haine et les discriminations contre cette même religion et ses fidèles. Ils ne cherchent ni la justice, ni la vérité, mais seulement à servir leurs intérêts égoïstes.
Il est temps de réagir. Il est temps de refuser cette hypocrisie éhontée. L’islam et les musulmans ne doivent pas être des jouets pour des stratégies politiques et médiatiques malhonnêtes. Il est temps que la vérité triomphe sur la manipulation et l'injustice.
Mourad MAZAR
Président de l'OMSAC
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